Logement - Page 6

  • Ascenseur bloqué : des promesses non tenues, des conséquences graves !

    Je tiens à vous trasnmettre le courrier que je viens d'envoyer au responsable de l'organisme qui me loge : "J’ai le regret de vous faire part de ma déception, après l’entretien téléphonique que j’ai eu avec une des responsables techniques de votre agence le vendredi 22 mars 2013 à 9h15, qui m’a promis que la panne de l’ascenseur sera réparée avant midi, en me refusant de me donner le N° de téléphone du syndic et celui des ascensoristes, sachant que je lui ai expliqué que je suis en fauteuil roulant et j’avais un RDV très important pour midi (sensibilisation dans une école a Francheville), elle m’a assuré  que la réparation sera effectuée avant cette heure. Malheureusement ce n’était pas le cas et j’étais obligé de solliciter des personnes étrangères qui m’ont fait descendre par les escaliers avec des risques de me renverser. Au moment où j’étais à mon RDV, j’ai recontacté la même personne de l’agence vers 15h30, qui a refusé de me mettre en contact avec le syndic ou les ascensoristes, en me rassurant une autre fois que l’ascenseur sera réparé avant mon arrivée à la résidence à 18h.

          Après une journée très chargée, plus tous mes problèmes de santé, je suis arrivé devant l’ascenseur, qui était malheureusement hors service, ce qui m’a obligé d’appeler la police et les pompiers qui n’ont pas donné suite à ma demande d’intervention et je me suis retrouvé bloqué à l’extérieur ne pouvant pas accéder à mon domicile. J’ai fait appel à des amis qui habitent loin, à une heure tardive pour m’aider à me faire monter dans l’immeuble. Cela m’a causé une faiblesse totale, hypotension,  et une crise d’angoisse après la colère de la non prise en charge et les promesses de la personne du service technique avec laquelle je me suis entretenu au téléphone, sans compter ma condamnation pendant tout le weekend chez moi.

           Suite à tout ça, mon état de santé actuelle nécessite une prise en charge psychothérapeutique et la dégradation sur les plans urinaires (infection) dû au retard que j’ai subi au moment où j’attendais qu’on me fasse rentrer chez moi. Afin d’éviter tout  désagrément, je demande que des excuses me soit présentées et qu’il aura le minimum d’accueil et de prise en charge par le personnels de la régie.   Comptant sur votre compréhension Madame, Monsieur, veuillez accepter mes plus grand respects."

  • La Région Rhône-Alpes retire son aide à l'adaptation de l'habitat !

     

    Le Pact du Rhône nous communique : Nous sommes au regret de vous informer que, dans le cadre de ses arbitrages budgétaires 2013, la Région Rhône Alpes a pris la décision de ne pas reconduire son dispositif d’aide aux personnes en situation de handicap pour l’adaptation de leur habitat.

    Pour mémoire, nous mobilisions cette aide pour les adultes (moins de 60 ans le plus souvent) ou enfants en situation de handicap pour lesquels une adaptation importante du logement était nécessaire et donc avec un coût de travaux élevé. L’aide de la Région pouvait atteindre 5100€ et était attribuée en complément d’une prestation de compensation du handicap (ou de l’Allocation Compensatrice Tierce Personne) aussi bien pour les logements du parc privé que du parc public.

  • Accès à un logement adapté : la galère !

    "Je vis actuellement en logement transitionnel jusqu'en octobre 2012. je recherche un logement social adapté à mon handicap moteur. En avril, un bailleur m'a proposé un logement de type F2. Le seul problème, mais qui n'est pas moindre, c'est que ce logement est équipé d'une baignoire et que les portes d'entrée du logement de l'immeuble ne sont pas automatisées".

    Pour mon autonomie, il était essentiel pour moi d'arriver dans un logement avec une salle de bain équipée d'une douche. Le bailleur pouvait envisager ces travaux en sollicitant le PACT ARIM et la MDPH. Mais il m'a répondu qu'il est impossible de trouver un logement tout adapté dans le parc ancien et qu'il faut demander un logement neuf. J'ai du refuser ce logement au risque de me retrouver sans toit au mois d'octobre..."

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