• Fauteuil en panne dans la rue un samedi : le technicien refuse d'intervenir !

    Je me déplace en fauteuil électrique. Le samedi 12 septembre 2015 , je me suis rendu au forum des associations du 3° arrondissement de Lyon, place GUICHARD 69003. Il y avait quelques passages pluvieux. Lors de mon retour, vers 15h00, circulant dans une ruelle , il y a eu une forte averse de pluie. Le fauteuil s'est soudainement arrêté, heureusement sur un trottoir, et le boîtier de commande clignotait. Malgré plusieurs tentatives, il m'a été impossible de redémarrer le fauteuil. Après qu'un passant m’ait mis à l'abri j'ai joins une connaissance qui m'a ramené chez moi après avoir débraillé le fauteuil électrique.

    Avec l'aide de cette personne , j'ai téléphoné au numéro de mon revendeur (HARMONIE MEDICALE). Une boite vocale indiquait ne faire des dépannages que pour les insuffisants respiratoires, et donnait un numéro d'astreinte. Cependant, vu ma situation, nous avons joint le technicien d'astreinte et celui-ci nous a dit ne pouvoir intervenir et qu'il fallait joindre la société à son ouverture le lundi à partir de 9h00.

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  • Escroquerie dans une bijouterie : un abus de vulnérabilité inacceptable !

    Une grande boutique de bijouterie dans une des rues les plus commerçantes de Lyon. On serait porté à faire confiance aux vendeurs et patrons ayant pignon sur cette rue. Tel ne fut pas le cas, jeudi dernier 16 juillet.

    Une jeune femme, handicapée moteur, découvre en vitrine de la boutique une montre, paraît-il de grande beauté. Afin de la voir de plus près, elle entre dans le magasin. Un vendeur (ou le patron) se présente, et faisant alors son métier, vante la beauté de la dite montre. Il commence à faire des propositions, si elle achète cet article, pour lui faire un crédit. Elle résiste alors, connaissant bien ses propres sérieuses difficultés financières.

    Son handicap physique, même s’il n’est pas très important est cependant largement visible. Le vendeur, profitant de la vulnérabilité de la cliente et de son impossibilité à se défendre, insiste fortement et finit par lui extorquer tout d’abord la somme de 139€ par le biais de sa carte de crédit, puis, avec forte insistance, la contraint à se rendre avec lui, après accord du patron, à un distributeur de monnaie afin d’y obtenir un RIB. Tremblante de peur, la jeune femme accompagnée par le vendeur, s’exécute, obtient le RIB demandé et est contrainte alors à signer une reconnaissance de dettes (3 fois 137€) puis se voit obligée de repartir profondément perturbée, la dite montre en poche. Honteuse, elle rentre chez elle et n’ose parler à qui que ce soit de cette escroquerie dont elle fut victime.

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